Des fibres sans les FODMAP
Les fibres sont une partie essentielle d’une alimentation saine. Cependant, au Canada, l’adulte moyen consomme beaucoup moins que les 21 à 38 grammes de fibres alimentaires recommandés par jour.1 Un apport modéré en fibres alimentaires a été associé au maintien d’une bonne santé en général.1 Cet apport comprend des fibres solubles qui sont fermentées par de bonnes bactéries dans les intestins. Les fibres solubles améliorent la santé gastro-intestinale, son fonctionnement et sa régularité, tout en diminuant l’indice glycémique (IG) des aliments.
De nombreux aliments et suppléments riches en fibres contiennent beaucoup de FODMAP (oligosaccharides, disaccharides, monosaccharides et polyols fermentables). Il s’agit de petits glucides et des alcools de sucre que certaines personnes ont du mal à digérer en raison de leur incapacité à les absorber par l’intestin grêle et de leur fermentation rapide dans l’intestin.2 Pour les personnes atteintes du syndrome du côlon irritable (SIB) et d’autres troubles digestifs, la consommation de FODMAP peut entraîner un inconfort abdominal, des ballonnements, des gaz, la diarrhée ou la constipation. Les FODMAP sont présents dans de nombreux aliments courants, notamment les légumineuses, le blé, le lait, les pommes, le brocoli, le chou-fleur, l’oignon, l’ail et les édulcorants et, en conséquence, il peut être difficile pour les personnes souffrant de troubles digestifs de consommer suffisamment de fibres.
Le produit FibreSense est entièrement biologique et exempt de FODMAP. Il contient de la gomme de guar partiellement hydrolysée (PHGG), une fibre alimentaire naturelle non digestible, soluble dans l’eau, fabriquée à partir de la graine de guar. La PHGG est produite par hydrolyse enzymatique partielle contrôlée de la gomme de guar, mais conserve les mêmes propriétés nutritionnelles et analytiques métaboliques. La gomme de guar est fermentée plus lentement dans le tractus intestinal que certaines autres fibres prébiotiques, ce qui la rend facilement tolérée. Les preuves démontrent qu’une alimentation pauvre en FODMAP est une partie importante de la gestion des troubles digestifs fonctionnels, notamment le SCI.2
La PHGG stimule la microflore intestinale et contribue à soulager les symptômes du SCI, améliorant ainsi l’état des selles en cas de constipation ou de diarrhée chez les adultes et les enfants. Une étude randomisée à double insu et contrôlée par placebo a démontré qu’une supplémentation de 6 grammes de PHGG par jour pendant 12 semaines chez les patients adultes atteints du SCI réduisait considérablement les ballonnements et les gaz.3 Une autre étude a démontré que la prise de doses de 5 à 10 grammes de PHGG par jour pendant 12 semaines pouvait contribuer à réduire les symptômes gastro-intestinaux et à améliorer la qualité de vie jusqu’à trois mois.4 Une étude similaire effectuée auprès d’enfants âgés de 8 à 16 ans a démontré qu’une dose de 5 grammes de PHGG par jour pendant quatre semaines permettait de réduire les symptômes du SCI de 38 % de plus qu’un placebo. Elle a également démontré une tendance à favoriser des selles normales.5
La constipation touche 25 % des Canadiens et la première étape à suivre pour la gérer consiste souvent à augmenter son apport en fibres alimentaires.1 Cet apport comprend des fibres solubles qui améliorent la santé, la régularité et le fonctionnement gastro-intestinaux. Une méta-analyse de 15 essais cliniques a démontré qu’une dose quotidienne de 5 à 7 grammes de PHGG réduisait de manière significative l’incidence de la constipation sans causer d’effets indésirables. Les chercheurs ont également découvert que la PHGG était aussi efficace que les laxatifs pour réduire la constipation.6
La PHGG favorise également un bon équilibre glycémique en réduisant l’indice glycémique des aliments. Une étude clinique de 12 mois a révélé que les patients qui prenaient 6 grammes de PHGG à chaque repas réduisaient considérablement leur glycémie après les repas, ainsi que leur taux d’insuline à jeun et après les repas. De plus, 50 % des participants intolérants au glucose présentaient une tolérance normale au glucose après trois mois de supplémentation.7